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+ | ===== Présentation du musée ===== | ||
- | ===== Histoire de l'UFR ===== | + | Bienvenue au musée |
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- | {{tablelayout? | + | |
- | ^ Création de l' | + | |
- | ^ Création du LITP | 1972 | | + | |
- | ^ Création | + | |
- | ^ Création d'une antenne à Marne-la-Vallée | + | |
- | ^ Adoption du nom Denis Diderot | + | |
- | ^ Création du LIAFA | 1997 | | + | |
- | ^ Création du PPS | 1999 | | + | |
- | ^ Rénovation et construction du campus des Grand Moulins | + | |
- | ^ Déménagement | + | |
- | ^ Création de l' | + | |
- | ^ Création de l' | + | |
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- | Avant les événements de mai 1968, il n’existait à Paris qu’une seule université composée de six facultés. Le 12 novembre 1968, la loi d’orientation sur l’enseignement supérieur supprima les anciennes facultés et les divisa en unités d’enseignement et de recherche (UER), regroupées en universités. Suite à cette loi, la plupart des universités optèrent pour une monodisciplinarité. Cependant, Robert Mallet, recteur de l’académie de Paris de 1970 à 1980, souhaitait créer une université pluridisciplinaire. Grâce à l’appui de plusieurs personnalités provenant des UER de Lettres, Sciences et Médecine, il parvint à son but et l’université Paris-VII fut créée en 1970-1971. Les Sciences et l' | + | |
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- | Le père de l’informatique française est Marcel-Paul Schutzenberger qui a développé l’informatique théorique française. | + | |
- | L'un des tout premiers élèves de Schutzenberger était Maurice Nivat. Ils étaient accompagnées de Louis Nolin spécialiste des machines et des processeurs. Ensembles, ils avaient monté le laboratoire LITP (Laboratoire d’Informatique Théorique et Pratique) en 1972 dont le directeur sera Jacques Arsac. Ce laboratoire est le premier grand laboratoire d' | + | |
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- | L’informatique était alors enseignée en partie par des physiciens et par des mathématiciens (adeptes de la théorie du calcul). , L’enseignement de l’informatique commencera sous forme de cours à option pour les étudiants de mathématiques. | + | |
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- | Sous l’impulsion de l’informatique naissante en tant que discipline scientifique autonome. | + | |
- | Sa reconnaissance en tant que telle par l’académie | + | Les vitrines et machines réunies dans cet espace présentent des séries de matériels représentatifs du développement des techniques informatiques. La plupart d' |
+ | Ces vitrines ont été mises en place conjointement par l’Université Paris Cité et le laboratoire d’Informatique Fondamentale, | ||
+ | Nous remercions chaleureusement tous les contributeurs qui ont permis à ces vitrines d’exister : Thomas Colcombet, Philippe Gaucher, Yves Guiraud, Hugo Herbelin, Inès Klimann, Pierre Letouzey, Jean-Henri Manara, Fabien de Montgolfier, | ||
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